Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Mémoire de Maxéville

1 mars 2018

Les Carrières Solvay JDM n°22 mars-avril 2018

JDM n°22 mars-avril 2018 les Carrières Solvay (1)JDM n°22 mars-avril 2018 les Carières Solvay (2)

 

JDM n°22 mars-avril 2018 les Carrières Solvay (3)

 

Sur les Pas des Carriers JDM n°41 mai-juin 2021

JDM n°41 mai-juin 2021sentier des carrières

1 janvier 2018

N-D de Bon Repos JDM n°21 janvier-février 2018

Jdm n°21 jan-fév 2018 notre dame du bon repos (1)

 

JDM n°21 N-D Bon Repos janvier-février 2018 (2)

1 novembre 2017

Les Vins de la Craffe JDM n°20 novembre-décembre 2017

 

 

Jdm n°20 nov-déc 2017 les vins de la craffe(1)

 

 

Jdm n°20 nov-déc 2017 les vins de la craffe (2)

 

1 septembre 2017

Champs le Bœuf JDM n°19 septembre-octobre 2017

Jdm n°19 sept-oct 2017 l'istoire du CLB par les enfants des écolesChamp

1 juillet 2017

Les Jolies Colonies... JDM n°18 juillet-août 2017

JDM n°17 mai-juin 2017 a

JDM n°17 mai-juin 2017

1 mai 2017

Toponymie de Maxéville JDM n°17 mai-juin 2017

JDM n°18 juillet-août 2017

1 mars 2017

Marie Marvingt JDM n°16 mars-avril 2017

JDM n°16 mars-avril 2017

15 janvier 2017

Les Fourches Patibulaires

 

Les Fourches Patibulaires

Patibulaire vient du latin patibulum (poteau de bois), puis cela signifiait  « qui mérite le gibet » et actuellement on parle d’une mine inquiétante, menaçante, sinistre

Fourches : colonnes de pierre qui soutiennent des pièces de bois auxquelles on attache les criminels

L’origine du terme « fourches patibulaires » remonte au temps des Romains mais elles apparaissent au XIIe siècle sous Philippe Le Bel

     fourches patibulaires              Fourches_patibulaires_Montfaucon_2             FP1

Les fourches patibulaires étaient donc un gibet constitué de 2 colonnes de pierre sur lesquelles reposait une traverse de bois horizontale. Placées en hauteur et bien en vue du principal chemin public hors de la ville ou village, elles signalaient le siège d’une haute justice et le nombre de colonnes indiquait le titre et l’importance du seigneur. Les condamnés à mort étaient pendus à la traverse de bois et leurs corps étaient laissés sur le gibet pour être exposés à la vue et la vindicte des passants afin d’inspirer au peuple l’horreur du crime et crainte du pouvoir

A Maxéville on aurait trouvé quelques traces de fourches patibulaires sur les vestiges d’un camp romain dans le bois qui domine le chemin vicinal qui mène à Champigneulles. Ce chemin s’appelle « chemin de la Justice »

Sur un plan de 1809 elles sont situées entre la Grande Route de Metz et la Meurthe

1112-06 Section C dites des Prés partie 11809

Quand sont-elles déplacées et pourquoi ?

Probablement au vue de l’extension du village

Dans les années 1850 elles sont réduites à l’espace entre la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg et le canal de la Marne au Rhin

plan 19721972

 

Capture

 

1972

                         Actuellement les Charbons Klein et le contrôle technique se partagent ce lieu-dit

  

vue aérienne fourches patibulaires

bb

                                              DSC_0007

 IMAG0010       Capture

 

 

 Capture 

 article C.Labrusse

1 janvier 2017

Souvenirs d'Hiver JDM n°15 janvier-février 2017


Jdm n°15 jan-fév 2017 souvenirs d'hivers(1)Jdm n°15 jan-fév 2017 Souvenirs d'hivers (2)

 

1 novembre 2016

J-B Thiéry JDM n° 14 novembre-décembre 2016

Jdm n°14 nov-déc 2016 J B Thièry son histoire

 

JDM n°14 b

<< < 10 11 12 13 14 15 > >>

Notre association vous accueille: 
-les mardis de 10h à 12h salle des Cailles Blanches 2,rue André Fruchard  
-sur rdv au bureau 5,rue général Leclerc
-memoiredemaxeville@gmail.com 

        

Liens vers nos partenaires

 

Mémoire de Maxéville